Je suis de genre féminin et mon nom se compose de 4 lettres. J’appartiens à la trame bleue, un réseau écologique essentiel pour la circulation de l’eau et des espèces aquatiques. Ma forme est aléatoire : je peux être carrée, rectangulaire ou courbée, mais je préfère les contours naturels, plus propices à la biodiversité. On me trouve dans divers paysages, à condition d’être creusée. Si le sol est humide, je reste naturelle ; sinon, une bâche m’aide à retenir l’eau. Je suis plus efficace quand j’ai des voisines à proximité ou quand l’environnement alentour accueille déjà des espèces sauvages. J’offre refuge et ressources à une biodiversité variée : Aquatique (amphibiens, insectes aquatiques et micro-organismes). Volante : (oiseaux, libellules, chauves-souris). Rampante (reptiles et petits mammifères). Je propose de l’eau pour boire, nager, pondre ou chasser. Je m’entoure de plantes aquatiques qui m’aident à rester oxygénée. Mon secret ? J’ai trois niveaux de profondeur (environ 30 cm, 50 cm et 80 cm ou plus) pour accueillir un maximum d’espèces. Attention : bien que les poissons soient souvent les bienvenus, ils perturbent mon équilibre naturel en mangeant mes larves et mes plantes.
Alors… Qui suis-je ?
LA MARE !
L’existence des réseaux de mares est cruciale pour le maintien de certaines espèces, dont certaines listées dans la liste rouge de l’Union International pour la Conservation de la Nature (UICN).
En Wallonie, 17% des espèces d’amphibiens et 26% des espèces de libellules sont en danger.
La mare constitue un écosystème complexe où les interactions entre espèces sont nombreuses ! C’est un lieu de rencontre et de reproduction pour la faune et la flore spécifiques aux milieux humides.
Une mare, il faut regarder ce qu’il y a autour, dans les différentes profondeurs, au-dessus et plus loin ! C’est tout un écosystème à lui tout seul qui abritera une faune particulière. Batraciens, libellules, insectes aquatiques.
Et chez PlantC ? On en a (des) mares
PlantC ne se résume pas à la plantation d’arbres ! Nous avons déjà réalisé plusieurs mares, voici quelques réalisations :
Mare temporaire Mare avec ganivelles pour migration des petits mammifèresMare avec EPDMMare naturelle. Sources Parc Naturel des Sources
Je suis de genre féminin et mon nom se compose de 4 lettres.
J’appartiens à la trame bleue, un réseau écologique essentiel pour la circulation de l’eau et des espèces aquatiques.
Ma forme est aléatoire : je peux être carrée, rectangulaire ou courbée, mais je préfère les contours naturels, plus propices à la biodiversité.
On me trouve dans divers paysages, à condition d’être creusée. Si le sol est humide, je reste naturelle ; sinon, une bâche m’aide à retenir l’eau.
Je suis plus efficace quand j’ai des voisines à proximité ou quand l’environnement alentour accueille déjà des espèces sauvages.
J’offre refuge et ressources à une biodiversité variée : Aquatique (amphibiens, insectes aquatiques et micro-organismes). Volante : (oiseaux, libellules, chauves-souris). Rampante (reptiles et petits mammifères).
Je propose de l’eau pour boire, nager, pondre ou chasser.
Je m’entoure de plantes aquatiques qui m’aident à rester oxygénée.
Mon secret ? J’ai trois niveaux de profondeur (environ 30 cm, 50 cm et 80 cm ou plus) pour accueillir un maximum d’espèces.
Attention : bien que les poissons soient souvent les bienvenus, ils perturbent mon équilibre naturel en mangeant mes larves et mes plantes.
Qui suis-je ?
En Wallonie, 17% des espèces d’amphibiens et 26% des espèces de libellules sont en danger.
Depuis 2025, nous soutenons aussi les agriculteurs et agricultrices dans leurs projets de création de zones humides.